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Opérateur en télésurveillance et agent de sécurité : SGS vous présente les métiers de la sécurité

Opérateur en télésurveillance et agent de sécurité : SGS vous présente les métiers de la sécurité

Qu’est-ce que « SGS Sage » ?

« S » pour sécurité, « G » pour gardiennage et le 2e « S » pour la téléSurveillance. Et « Sage », parce que c’est le nom du fondateur, et celui des actuels dirigeants de la société.

Nous sommes un groupe familial de sécurité privée créé en 1974 à Vesoul. Depuis, nous nous sommes également implantés à Saint-Dié-des-Vosges et à Épinal. Nous intervenons dans tout le Nord-est sur les activités de gardiennage, et dans tout le reste de la France pour la télésurveillance et la vidéosurveillance. Nos opérateurs en télésurveillance et nos agents qualifiés, hommes et femmes, interviennent 24h/24 et 7j/7 sur des prestations de surveillance/gardiennage, interventions sur alarmes, sécurité incendie et vidéosurveillance. Ils protègent les biens et les personnes des professionnels et collectivités comme des particuliers, pour des prestations ciblées en Bourgogne-Franche-Comté et dans le Grand-Est. Tous nos salariés possèdent leur carte professionnelle de la sécurité à jour.

Agent de sécurité, agent cynophile (ou maître-chien), SSIAP, opérateur en télésurveillance, en vidéoprotection ou vidéosurveillance, ou encore intervenants/rondiers, et si les métiers de la sécurité étaient faits pour vous ?

Opérateur en télésurveillance, en vidéoprotection ou vidéosurveillance, quelle est la différence ?

La vidéosurveillance et la vidéoprotection sont des activités bien différentes, malgré la complémentarité certaine qu’elles peuvent présenter. Les opérateurs en télésurveillance, ou vidéosurveillance, coordonnent les interventions possibles depuis leur station de surveillance à partir du déclenchement d’une alarme. Les opérateurs en vidéoprotection, quant à eux, veillent sur des dizaines de caméras.

Opérateur (ou opératrice) en télésurveillance ou vidéosurveillance, les anges gardiens de nos clients

À la différence de la vidéoprotection avec son enregistrement continu, la télésurveillance s’appuie sur un système d’alarme composé de multiples appareils et relié à une station de télésurveillance. Les détecteurs de mouvements (volumétriques) ou les détecteurs d’ouverture (périmétriques) sont reliés à des alarmes qui remontent les informations au centre de télésurveillance.

L’opérateur en télésurveillance a ensuite pour mission de centraliser et de traiter les signaux d’anomalie en appliquant les procédures souhaitées par le client. Ces alarmes peuvent être couplées ou intégrées à des dispositifs de vidéosurveillance. L’opérateur gère les déclenchements d'alarme pouvant être associés à une levée de doute audio et/ou vidéo et/ou physique. En cas d'événement, l’opérateur doit établir un constat de la situation, et qualifier la nature et le degré d'urgence, tout en appliquant les consignes établies au préalable avec le client.

En cas d'événement, d'incident ou sur demande, il peut diligenter à distance l'intervention par des moyens humains ou par vidéo, selon les priorités définies par les procédures. Il s'assure du retour à la normalité des systèmes de sécurité. Le système de télésurveillance permet également de repérer des dysfonctionnements sur les sites grâce à d’autres données comme les écarts de température, d’humidité, de surcharge d’énergie, des départs de feu, etc.

Exemple d’intervention : suite au déclenchement d’une alarme intrusion sur un site, l’opérateur en télésurveillance analysera la progression des déclenchements et/ou les vidéos ou bandes audio enregistrées par les caméras de surveillance. Il pourra prendre attache avec les contacts et/ou faire intervenir un agent sur place. Cette levée de doute lui permettra d’être en mesure de décider des suites à donner : contacter les services de secours, rendre compte au client etc.

Profil attendu : chez SGS Sage, nos opérateurs en télésurveillance et vidéosurveillance veillent sur nos sites à distance, ils sont en quelque sorte leurs anges gardiens :-) Ils travaillent seuls ou en équipe, de jour comme de nuit, depuis le centre d’exploitation, qui est constitué d’écrans de réception d’informations. Ils peuvent travailler le week-end et les jours fériés. Ils doivent posséder un bon sens de la communication et une bonne capacité de synthèse. Ils savent également gérer leur stress pour être à même d’intervenir rapidement et efficacement. Et de respecter la confidentialité des données qu’ils traitent !

Retrouvez le quotidien de nos opérateurs en télésurveillance dans notre vidéo et notre fiche de poste Opérateur en télésurveillance à la fin de cet article.

Opérateur (ou opératrice) en vidéoprotection, un métier de « gamer »

L’opérateur en vidéoprotection ressemble à celui que vous voyez dans les séries américaines : assis devant des dizaines d’écrans, son casque sur les oreilles, il surveille les sites en jonglant entre toutes les vidéos enregistrées en continu. Ses missions sont de sécuriser les lieux, les personnes et les espaces depuis la station.

Les images capturées par des caméras sont directement transmises au moniteur, ou enregistreur. Ces vidéos sont accessibles depuis un ordinateur ou un smartphone. Ainsi, l’agent peut visionner ces enregistrements depuis les locaux ou même à distance. Il n’intervient pas lui-même, mais est capable de qualifier le degré d’urgence requis par l’observation des images et d’avertir les acteurs privés ou publics chargés d'intervenir sur les sites. Il déclenche et suit les différents types d'intervention (alarme, télésurveillance, astreinte). L'opérateur trace ensuite les événements sur le registre prévu à cet effet ou sur une main courante informatisée.

L’agent de vidéoprotection sait rester durant des heures devant des écrans pour surveiller les lieux et apporter la réponse la plus adaptée à la situation. Il est endurant et rigoureux, possède un excellent sens de la réactivité et de l’adaptation. Il sait travailler en autonomie, gérer son stress et est résistant à la fatigue. Ces agents possèdent un bon relationnel et sont capables de réaliser des comptes-rendus précis de leur activité. Les horaires de travail sont souples et l’activité est fréquente la nuit et les week-ends.

Profils attendus : les gamers et gameuses peuvent devenir de bons opérateurs de vidéoprotection, à condition de savoir faire la différence entre le jeu et la réalité ;-) Ils devront également savoir se déconnecter pour obtenir leur certificat de compétences professionnelles. Chez SGS Sage, nous n’utilisons pas de vidéoprotection (on la retrouve davantage dans les très grandes villes). Nos équipes sont toutefois très bien équipées pour protéger nos clients par de la télésurveillance et la vidéosurveillance !

Agents de sécurité, de pré-vol et rondier, comment gèrent-ils la sécurité quotidienne de leurs clients ?

Agent de sécurité, le métier utile de prévention des risques

Les agents de sécurité sont affectés sur des missions de surveillance et de gardiennage sur des sites spécifiques. Ils peuvent intervenir chez des particuliers comme des professionnels de manière récurrente (entreprises, industries, collectivités) comme plus occasionnelle (suite à un cambriolage ou des difficultés de verrouillage des issues, ou même lors d’un enterrement pour protéger les biens en l’absence de la famille, etc.). On peut également les associer à divers événements et manifestations telles que les foires, les salons, les concerts, les fêtes, les mariages, etc.

L’agent de sécurité peut effectuer de nombreuses missions : accueil du public, filtrage des entrées et des sorties des sites (contrôle d’accès), palpations de sécurité, gestion des conflits, rondes de sécurité, etc. Dans tous les cas, sa présence dissuade et prévient les risques.

Témoignage d’Alexis, agent de sécurité et SSIAP :

« J’ai découvert SGS sur un salon de la sécurité, et j’ai pu y réaliser mon apprentissage. J’ai ensuite été embauché en CDI il y a 6 mois maintenant. J'ai choisi de devenir agent de sécurité pour aider et contribuer à la sécurité des personnes, à ma manière. Ce qui me plaît dans ce métier est le fait de toujours être utile, peu importe le poste. Il n'y a aucune routine, aucune journée ne se ressemble."

Agent de sécurité pré-vol, protéger les biens autant que les personnes

Les agents « pré-vol » ont pour mission principale, comme leur intitulé l’indique, la lutte contre le vol, dans les établissements recevant du public (ERP). Ils surveillent les lieux et accueillent le public, mais interviennent plus particulièrement en protection des vols et dégradations, le plus souvent en grandes surfaces. Ils luttent contre la démarque inconnue en identifiant précisément les individus suspectés de vol. Leurs actions servent également à entraver les possibilités de vol à l’intérieur d’une zone définie, et à s’assurer que les clients ont acquitté le montant de leurs achats.

L’agent de sécurité pré-vol est souvent soumis au port de l’uniforme d’agent de sécurité mais il peut également travailler en tenue civile. Il peut effectuer une partie de ses missions de surveillance depuis les caméras de sécurité situées au poste de sécurité du site. Il travaille souvent en équipe. S’il repère des actes délictueux, il pourra interpeller le ou les individus mis en cause, et avertir leurs responsables ainsi que les forces de l’ordre, en fonction des consignes et protocoles internes. L’agent pré-vol doit enfin être en mesure de rédiger son rapport de constatation des faits.

Témoignage de Joris, agent de sécurité pré-vol depuis 2016 chez SGS :

« J’aime plusieurs choses dans le métier de pré-vol. Tout d’abord le fait de travailler en équipe, et de pratiquer le secourisme, mais également l'aspect prévention. Nous avons des plannings fixes, établis au mois, mais les jours se ressemblent rarement.

La "chasse" (lorsqu'on est derrière les caméras) demande de la patience et un certain sens de l'observation. Il m'est déjà arrivé de passer plus de 2 heures devant les caméras pour traquer un vol de piles LR6 dans une poche par exemple.
Cela demande aussi une certaine psychologie, je trouve, nous ne sommes aucunement des cow-boys, et même si un individu vole, ce n'est pas notre rôle de le juger. En bref, quand on a la possibilité de travailler au sein d'une bonne équipe, avec de la diversité au quotidien, cela devient vraiment plaisant."

Agent de sécurité intervenant et rondier, un travail d’équipe

L’agent de sécurité intervenant/rondier peut être un seul et même poste ou bien 2 distincts.

Le premier travaille en étroite collaboration avec les agents de télésurveillance et est chargé de se rendre sur site à la suite d’un déclenchement d’alarme. Il effectuera la levée de doute en réalisant une ronde de sécurité pour s’assurer, en fonction du type d’alarme (incendie, intrusion, technique, etc.), que tout est en ordre. Il vérifie l’absence ou la présence d’individus sur place et donne l’alerte en cas de dysfonctionnement (anomalies, acte de malveillance, etc.). En fonction des procédures mises en place avec le client, il pourra geler les lieux en prévenant les opérateurs de télésurveillance, les secours, etc. Il rend ensuite compte de ses actions à la station de télésurveillance.

De son côté, le rondier est chargé d’effectuer des rondes de sécurité de manière régulière ou occasionnelle sur tout type de sites. Il peut aussi être chargé d’effectuer des rondes d’ouverture ou des rondes de fermetures d’accès sur des sites (souvent de types industriels/entreprises) de manière régulière à des horaires fixes ou variables, à la demande des clients.

Ces rondes sur sites permettent à l’agent de contrôler l’absence d’anomalie, de vérifier les points vulnérables et/ou sensibles des bâtiments, et de dissuader des actes de malveillance par sa présence. Les rondes d’ouvertures consistent en général à déverrouiller les issues du site, désactiver le système d’alarme, allumer les lumières, vérifier qu’il n’y a pas de dysfonctionnements particuliers. Les rondes de fermeture consistent inversement à évacuer les individus sur place, à verrouiller les issues, éteindre les lumières, activer le système d’alarme, etc. Le rondier rendra ensuite compte des événements via une main courante.

Témoignage de Saïd, agent de sécurité intervenant/rondier depuis plus de 20 ans chez SGS :

« Ce que j’aime dans ce poste, c’est qu’il n’y a pas de routine, chaque jour est différent ! J’aime quand il y a de l’action, et interventions diversifiées, notamment avec les différents types d’alarmes (alarmes techniques, incendie, agression…). En tant qu’intervenants/rondiers, nous travaillons en autonomie principalement. Particulièrement, lors des rondes, nous avons des responsabilités car les sites sur lesquels nous nous rendons sont tous très différents et les missions aussi, ce que j’apprécie. J’aime travailler la nuit, cela me permet de m’organiser plus facilement au niveau de ma vie de famille, avec les enfants notamment. »

Profil attendu des agents de sécurité : bénéficier d’un sang-froid à toute épreuve et un excellent sens de l’observation, savoir rendre des comptes sur les situations rencontrées, posséder une très bonne condition physique pour être capable d’intervenir à tout instant, être réactif et autonome. En fonction de leurs demandes et des besoins, les agents pourront se spécialiser, ou non, dans le pré-vol ou les rondes.

Retrouvez nos fiches de poste à la fin de cet article.

Agents cynophiles (ou maître-chien), et sécurité incendie, quelles sont leurs spécificités ?

Agent cynophile et son chien, un binôme qui a du mordant

On retrouve des agents cynophiles dans le secteur public (armée, police, gendarmerie, sécurité civile, etc.) comme dans le secteur privé (sociétés de gardiennage, etc.). Le maître (ou la maîtresse) et son animal doivent constituer une véritable équipe en optimisant les qualités acquises et naturelles du chien pour assurer la protection des biens et/ou des personnes.

Dans le privé, les missions de ces amoureux des animaux s’inspirent très largement de celles des agents de sécurité plus classiques : sensibilisation et veille à la sécurité des sites, contrôle du fonctionnement des installations de sécurité, gestion des urgences, gestion des conflits, etc. Toutefois, ce métier comporte un aspect supplémentaire indispensable : la présence du chien. Dressé et entraîné afin d’accompagner son maître ou sa maîtresse dans ses missions professionnelles, celui-ci doit être validé en centre de formation, et son numéro d’identification doit apparaître sur la carte professionnelle du conducteur. L’agent doit être capable de maîtriser son animal en toutes circonstances et de gérer des situations conflictuelles. L’examen d’agent cynophile est un vrai challenge, en raison d’épreuves rigoureuses et complexes. Un chien peut en effet s’avérer très dangereux en cas de situations non maîtrisées !

Profil attendu : l’agent cynophile doit être majeur et posséder la certification de sauveteur secouriste du travail, en plus de sa carte professionnelle en cours de validité. Le chien qui forme le binôme doit être le sien, de pure race (l’inscription au LOF est conseillée) et autorisé au « mordant » (type : Berger Allemand, Berger Belge, Malinois, etc.). L’animal doit être âgé de 18 mois minimum au moment du passage de l’examen. Il devra être en mesure de réussir un test d’évaluation sur ses aptitudes naturelles, réactions aux coups de feu, mordant, etc. Son propriétaire devra être en possession de l’ICAD du chien (identification des carnivores domestiques) à son nom. Le binôme doit justifier d’entraînements pratiques réguliers.

Témoignage de Muriel, agent de sécurité polyvalente, SSIAP et agent cynophile depuis 2020 chez SGS :

« J’ai toujours eu des chiens, alors je m’étais fixé comme objectif de devenir maître-chien un jour. Travailler avec mon binôme Natch, cela me permet d’allier ma passion et mon travail. En plus, c’est rassurant de ne pas être seule sur certains sites, il veille sur moi et moi, je veille sur lui. »

Retrouvez nos fiches de poste à la fin de cet article.

Agent de sécurité incendie (SSIAP), 3 niveaux d’intervention adaptés

Comme pour les autres métiers de la sécurité, les agents SSIAP (service de sécurité incendie et d’assistance à personnes) assurent la sécurité des personnes et des biens. Leur spécificité est d’intervenir particulièrement sur la sécurité incendie et l’assistance à personnes. Leur rôle est de prévenir des risques d’incendies, de former et sensibiliser le personnel et d’intervenir en cas de besoin. Ils connaissent le feu et ses effets.

Il existe 3 niveaux de service de sécurité incendie et d’assistance à personne (SSIAP 1, SSIAP 2, SSIAP 3), qui sont tous soumis à la réussite de l’examen final de fin de formation pour prétendre à la certification. Si les agents SSIAP doivent posséder un diplôme de secourisme en cours de validité, il ne leur est, en revanche, pas indispensable de posséder la carte professionnelle d’agent de sécurité. Toutefois, cela permet d’ajouter une corde supplémentaire à leur arc !

Les agents composant le service de sécurité incendie doivent être clairement identifiables avec des tenues adaptées à leurs missions respectives.

Remarque : Attention, il ne faut pas confondre les SSIAP et les pompiers ; malgré leur tenue rouge, les SSIAP sont là aussi pour faciliter l’accès des pompiers et effectuer les premiers soins ou premières actions, mais ils ne les remplacent pas.

Le SSIAP 1

C’est le premier niveau possible de formation en sécurité incendie et assistance à personnes. Il est indispensable pour les personnes qui souhaitent ensuite passer le niveau 2 ou 3.

L’agent SSIAP1 veille à la présence et à l’entretien élémentaire des moyens concourant à la sécurité incendie. Il participe à la formation du personnel des sites sur lesquels il intervient et dans le cadre de l’assistance à personnes. Il effectue des rondes de sécurité incendie sur site, rend compte à sa hiérarchie et doit être en mesure d’intervenir en cas d’incendie ou de besoin d’assistance à personnes. Ses missions peuvent être : l’alerte et l’accueil des secours, l’évacuation du public, l’intervention précoce face aux incendies, l’assistance à personnes au sein des établissements où il exerce, l’exploitation du PC de sécurité incendie, etc.

Le SSIAP 2

Le SSIAP 2 est le second niveau de formation incendie. Pour l’obtenir, il est indispensable de posséder déjà le niveau SSIAP 1 d’agent de sécurité incendie et d’avoir un diplôme de secourisme à jour. Le chef d’équipe de sécurité incendie doit avoir exercé comme SSIAP 1 pendant au moins 1607 heures durant les 24 derniers mois (cette disposition doit être attestée soit par l'employeur, soit par la présentation du contrat de travail).

Le SSIAP2 peut réaliser les mêmes missions que les agents SSIAP1 tels que l’assistance à personnes au sein des établissements où ils exercent, l'entretien élémentaire des moyens concourant à la sécurité incendie et la formation du personnel en matière de sécurité contre l'incendie. Il devra de plus connaître et faire appliquer la réglementation en matière d'hygiène de la sécurité du travail sur les aspects de sécurité incendie et manager une équipe de sécurité. Il aura également la charge de la prévision technique encadrée par les règlements de sécurité (lecture et manipulation des tableaux de signalisation, délivrance des permis feux…), et il assurera également la direction du poste de sécurité lors des sinistres.

Le SSIAP 3

Le SSIAP 3 est le dernier niveau de sécurité incendie. Il n’est pas indispensable de posséder le SSIAP 2 pour devenir chef de service pour les personnes possédant un niveau minimal d’études, mais la certification est nettement plus difficile à obtenir. Le SSIAP3 doit détenir les compétences et les connaissances des 2 premiers grades. Il assure l’organisation générale et la gestion du service de sécurité incendie et d’assistance à la personne.

Le chef de service doit également les compléter d’une parfaite maîtrise de la réglementation incendie. Il manage le service de sécurité incendie et pratique si nécessaire l’assistance à personnes au sein des établissements où il exerce. Enfin, il est le référent des commissions de sécurité et peut conseiller le chef d’établissement, tout en assurant le suivi budgétaire de son service. De plus, il assure le suivi des obligations de contrôle et d’entretien (tenue des registres et de divers documents administratifs concourant à ce service). Il n’est pas obligatoirement sur place lors des événements et peut assurer le suivi des sites à distance.

Focus

Le statut de militaires, policiers et gendarmes permet aux jeunes retraités de bénéficier d’une équivalence. Ces professionnels sont considérés aptes à exercer les activités privées de sécurité. Si c’est votre cas et que vous souhaitez continuer à utiliser vos compétences pour protéger les biens et les personnes de votre secteur, prenez contact avec nous ! Nous saurons vous proposer des missions en adéquation avec vos possibilités.

Retrouvez toutes nos fiches de poste

Agent de Sécurité Intervenant / Rondier
Agent de Sécurité et de Prévention
Agent de Sécurité et de Prévention – Pré-vol
Agent de Sécurité Cynophile
Agent des services de Sécurité Incendie et Assistance à Personne
Chef(fe) d’équipe des services de Sécurité Incendie et Assistance à Personne
Chef(fe) de services de Sécurité Incendie et Assistance à Personne